Domaine du Bel Air
L’histoire du domaine remonte à la fin du XIXème siècle quand l’arrière grand père de Pierre Gauthier décida de s’installer dans la région pour travailler la terre. Il fit d’abord la polyculture avant d’acheter quelques parcelles et se lancer dans la viticulture.
Aujourd’hui, Pierre et son fils Rodolphe, sont toujours sur ce village formidable, travaillant jour après jour cette terre et mettre en avant la complexité de ce terroir.
Lorsque son père, André Gauthier, le forma au métier et lui passa le flambeau de cette petite propriété familiale, il n’avait qu’un souhait : qu’il fasse la même chose. Il a été le dernier vigneron à travailler ses vignes au cheval, Pierre a donc commencé à travailler avec un cheval. Cet homme autodidacte et fort de caractère lui a transmis tout ceci. Après quelques années a suivre les tendances du secteur pour répondre à la demande du marché, Pierre se remet en question et décide de changer de cap en revenant à des pratiques en accord avec ce que son père lui avait transmis.
En 2000, conversion de l’exploitation en bio, sélection de cuvées suivant les terroirs, les crus, vinifications longues pour certaines, élevage en cave comme leurs ancêtres pour avoir des vins de caractères, complexes et de garde, des vins de fruits sur la terrasse.
Aujourd’hui, Pierre et son fils Rodolphe, sont toujours sur ce village formidable, travaillant jour après jour cette terre et mettre en avant la complexité de ce terroir.
Lorsque son père, André Gauthier, le forma au métier et lui passa le flambeau de cette petite propriété familiale, il n’avait qu’un souhait : qu’il fasse la même chose. Il a été le dernier vigneron à travailler ses vignes au cheval, Pierre a donc commencé à travailler avec un cheval. Cet homme autodidacte et fort de caractère lui a transmis tout ceci. Après quelques années a suivre les tendances du secteur pour répondre à la demande du marché, Pierre se remet en question et décide de changer de cap en revenant à des pratiques en accord avec ce que son père lui avait transmis.
En 2000, conversion de l’exploitation en bio, sélection de cuvées suivant les terroirs, les crus, vinifications longues pour certaines, élevage en cave comme leurs ancêtres pour avoir des vins de caractères, complexes et de garde, des vins de fruits sur la terrasse.
